En 2017, le Venezuela et le Salvador présentaient les taux les plus élevés de mort violente par arme à feu. On y trouvera des statistiques nationales sur les décès par balle, décès qui sont ventilés selon les catégories suivantes : suicides et homicides, incident intentionnel ou accidentel, décès. (1) La Loi sur les armes à feu de 1995 remplace les AAAF par des permis de possession et d’acquisition. Un regard comparé de l'état de santé des Québécois, Ce site a été conçu par Robert Choinière, 2020, Gaz à effet de serre et polluants atmosphériques, Dépenses de santé et nombre de médecins et d’infirmières, Mortalité infantile et naissances de faible poids, Mortalité par maladies de l’appareil circulatoire, Mortalité par maladies de l’appareil respiratoire, Mortalité par diabète, par maladie d’Alzheimer et par suicide, Les décès par armes à feu atteignent un sommet, Comparaisons santé : le Québec et l’Écosse. Les données les plus récentes montrent que 33 000 décès par armes à feu surviennent en moyenne annuellement aux États-Unis. L’année dernière a été la pire, avec le plus grand nombre de fusillades jamais répertorié à Toronto. La majorité des armes à feu détenues par des Canadiens sont des armes sans restriction, généralement des « armes d’épaule » tels un fusil de … Une grande partie des recherches sur les armes à feu porte surtout sur les blessures et les décès causés par le mauvais usage des armes à feu, et le rôle que jouent ces armes dans la montée de la violence au sein de certaines sociétés. La proportion des cas non déterminés demeure néanmoins notablement plus élevée pour les simples blessures que pour les décès attribuables à une blessure par balle. Au cours des 25 dernières années, il y a eu en moyenne 1 300 décès causés par des armes à feu chaque année. Rang Pays Armes à feu % hab Notes 1 États-Unis: 88,8 [7]: Selon le Congressional Research Service, Il y a environ deux fois plus d'armes à feu par habitant aux États-Unis d'Amérique qu'il n'y en avait en 1968 : plus de 300 millions d'armes à feu au total [8]. L’analyse plus spécifique de la mortalité chez les hommes de 15 ans et plus accentue les différences entre les Noirs et les Blancs. Parmi ceux-ci, 62 % se rapportent à des suicides et 34 % à des homicides. Un lynx boréal a été tué par arme à feu dans le Doubs et une enquête pour Dans son dernier rapport sur la mortalité aux Etats-Unis, le Centre fédéral de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a recensé 36 252 morts par arme à feu en 2015. Ce chiffre dépasse déjà le nombre d’Américains abattus sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944. Au cours des 15 dernières années, près d’un demi-million de décès par armes à feu ont été dénombrés. Au-delà des fusillades et des décès impliquant les forces policières, l’ampleur de la mortalité par armes à feu aux États-Unis est relativement peu connue. Une étude révèle les disparités importantes d'un Etat et d'une communauté à l'autre en ce qui concerne la mortalité des mineurs par armes à feu aux États-Unis. Le Royaume-Uni connaît une baisse constante du nombre de décès par arme à feu, avec une minimale à 39 décès pour l'année 2009. Il n’existe pas au Canada de données nationales sur les types d’armes en cause dans les cas de blessure, mais les recherches donnent à penser que les armes d’épaule sont plus souvent en cause que les armes de poing. Chez les Noirs, les risques de décès par armes à feu diminuent avec l’âge, alors que chez les Blancs, c’est le contraire. Et selon l'archive des violences par arme à feu, au 6 mars 2019, 2 502 Américains avaient trouvé la mort au cours de l'année. Les États-Unis affichent de loin, parmi l’ensemble des pays industrialisés, le taux le plus élevé de mortalité par armes à feu. Les blessures par balle sont classées comme fatales ou non fatales, et les trois types d’atteintes fatales sont les homicides, les suicides et les décès accidentels. Il est très vraisemblable que cette différence s’explique par le fait que les blessures accidentelles visent moins souvent des organes vitaux que ne le font les blessures que la victime s’inflige elle-même et les agressions. Ce profil diffère considérablement de ce qu’on sait de l’intention des actes qui causent des blessures fatales. Comme les décès par armes à feu évoluent au même rythme que les effectifs de la population américaine, le taux de mortalité demeure stable dans le temps. On dénombre environ 21 armes à feu pour 100 habitants aux États-Unis, 53 au Yémen, 39 au Monténégro et en Serbie, et 35 au Canada et en Uruguay. L’auteur traite ensuite des types d’armes à feu en cause dans les blessures et décès et de la possibilité d’établir un lien entre la disponibilité des armes à feu dans une société et le nombre des blessures et décès qu’elles causent; enfin, il passe en revue les recherches récentes sur les coûts qu’entraînent les blessures et les décès par balle. Le ratio ainsi estimé varie considérablement d’une étude à l’autre. En 1995, le nombre de décès pour 100 000 habitants a été le plus faible en 25 ans. Parmi ces 19 décès, huit sont le fruit de l’usage direct d’une arme à feu par la police. La plupart des pays ont publié des chiffres sur les décès par balle, permettant ainsi aux chercheurs d’estimer le nombre de suicides, d’homicides et de décès accidentels liés à l’usage de ces armes et de faire des comparaisons entre pays. Les chercheurs risquent souvent de mal interpréter les données à cause du nombre variable de cas classés comme non déterminés. Sur les 1 125 décès par balle qui sont survenus en 1995, environ 80,1 p. 100, soit 911, ont été classés comme des suicides; il y a eu 145 homicides, soit 12,4 p. 100; et enfin 49 morts non intentionnelles, ce qui fait 4,3 p. 100 du total (Hung, 1997). En 1970, ce taux était de 5,2. Les meurtres par armes à feu aux USA sont au nombre de 10 000 par an selon des associations américaines. Chez les 15-34 ans, les homicides dominent alors que chez les personnes de 75 ans et plus, plus de 90 % des décès par armes à feu sont associés à des suicides. Les cas d’entrée par infraction dans le but de voler des armes à feu sont passés de 516 en 2013 à 804 en 2016 (Statistique Canada; CANSIM 252-0051). Les suicides par armes à feu sont passés de 19 700 à 23 800. Lorsque les chercheurs examinent la possibilité d’un lien entre les blessures par balle et la présence des armes à feu ou de certains types d’armes à feu comme les armes de poing, ils devraient examiner séparément chaque type d’incident (Stenning, 1996, p. 18). Au-delà des fusillades et des décès impliquant les forces policières, l’ampleur de la mortalité par armes à feu aux États-Unis est relativement peu connue. Une grande partie de la recherche sur les blessures par balle fatales tourne autour de la possibilité d’un lien entre le nombre d’armes à feu disponibles et les taux de crimes avec violence, de suicides et d’accidents dans une population donnée. Pas moins de 266 meurtres ont été commis l'an dernier à l'aide d'une arme à feu, soit 43 de plus qu'en 2016. Des chercheurs ont fait observer que, même si des suicides et des homicides peuvent être classés à tort comme des accidents fatals, la proportion des cas mal classés est probablement faible, étant donné que les décès par arme à feu donnent souvent lieu à des enquêtes sur la possibilité d’homicide qui sont plus poussées que les enquêtes générales sur les suicides ou les morts accidentelles (Dudley et coll., 1996, p. 372). Ce peut être un problème complexe que de classer les incidents mettant en cause des armes à feu selon des catégories comme intentionnel ou non intentionnel, auto-infliction ou agression. Il existe aux États-Unis des bases de données sur les blessures non fatales, et plusieurs estimations nationales ou régionales de taux de décès ont été produites dans ce pays (p. Vingt-neuf pays ont présenté des statistiques sur le nombre de décès par balle pour 100 000 habitants. Ci-dessous figure une liste des pays par taux d'homicide volontaire par an pour 100 000 habitants. l’existence d’un lien entre la disponibilité de moyens létaux d’expression de la violence et le niveau réel de la violence, mais la nature exacte de ce lien n’est pas évidente. Sur les 41 cas recensés en 2019, 33 impliquaient l’usage d’armes à feu, selon les chercheurs. Dossiers thématiques Voir la mise à jour parue le 10 septembre 2019 : Les décès par armes à feu atteignent un sommet. Si les homicides prévalent dans la population noire, les suicides constituent plus des trois quarts des décès dans la population blanche. ex., Annest et coll., 1995; Barber et coll., 1996; Bretsky et coll., 1996; Kellermann et coll., 1996; Mercy, 1993). La notion de taux de décès désigne la proportion des cas de blessures causées par des armes à feu qui entraînent la mort (Barber et coll., 1996, p. 487). La fiabilité des données concernant les homicides peut varier selon les pays [1] et selon leur définition d'homicide volontaire qui peut inclure ou non l'euthanasie, l'infanticide ou les violences ayant entraîné la mort sans l'intention de la donner. En 1995, le nombre de décès pour 100 000 habitants a été le plus faib… Les blessures non fatales sont le résultat d’une agression, sont infligées par la victime elle-même ou sont accidentelles. Les caractéristiques sont peut-être différentes pour les blessures intentionnelles et non intentionnelles tout comme l’accès aux armes à feu peut influer différemment sur le taux des blessures par agression ou des blessures que la victime s’inflige elle-même. Il fait une comparaison avec les données d’autres pays sur les décès par balle. Rares sont ceux qui mettraient en doute
Les Etats-Unis sont numéro 1 du classement alors que la France n’apparait pas dans le top 10. Les erreurs de classement peuvent être plus
Au cours des 25 dernières années, il y a eu en moyenne 1 300 décès causés par des armes à feu chaque année. Nous reviendrons sur ces problèmes dans des chapitres ultérieurs. En 2017, la police a déclaré 266 homicides commis à l’aide d’une arme à feu au Canada, soit 43 de plus qu’en 2016 . On peut avoir moins de chances de sauver la vie de patients grièvement blessés dans les localités isolées et celles qui ne sont pas pourvues de services médicaux d’urgence perfectionnés (Kellermann et coll., 1996). A l’inverse, en France, le nombre d’armes à feu a drastiquement baissé : de 19 millions en 2006 à 10 millions en 2016 soit de 31,2 armes pour 100 habitants à 14,96. Ainsi, il n’y a aucun moyen de mesurer avec précision le nombre de personnes qui possèdent des armes à feu (Stenning, 1996; 1996b, p. 10), et il n’y a actuellement aucun moyen de tenir compte du fait que le nombre de ces propriétaires varie dans le temps et d’un territoire à l’autre. Le Canada, comme la plupart des pays, ne prend pas note de toutes les blessures subies et est donc incapable de dire combien mettent en cause des armes à feu. En En date du 31 décembre 2000, il existait toujours 243,299 AAAF. Près de 43 p. 100 des blessures sont classées comme des accidents, 22 p. 100 sont causées par autrui; dans près de 9 p. 100 des cas, la cause n’est pas établie, et le 1,7 p. 100 qui reste découle d’une intervention de la police (Hung, 1997). Selon les données sur l’hospitalisation de Statistique Canada pour 1993 et 1994, 25 p. 100 des blessures par balle exigeant des soins actifs sont infligées par la victime même, par exemple dans les cas de tentative de suicide. STATISTIQUES - La tuerie de Charleston a mis en lumière les dégâts faits par les armes à feu aux Etats-Unis où, depuis le début de l'année, près de 6000 personnes ont été tuées par balles. Depuis 2010, les décès par armes à feu ont dépassé ceux par accidents de transport chez les hommes. Il semble que les blessures non intentionnelles soient moins graves et conduisent moins souvent à la mort; elles sont associées à un faible risque de préjudice grave. Il a atteint un sommet de 7,2 en 1977 et a ensuite diminué régulièrement pour s’établir à 3,8 en 1995 (Hung, 1997). Pourtant, les statistiques sont facilement accessibles à partir de la base de données sur les décès du site web du Centers for Disease Control and Prevention (CDC) http://wonder.cdc.gov/ucd-icd10.html et révèlent un portrait contrasté. Les armes à feu occasionnent 6 fois plus de décès chez les hommes que chez les femmes. > Malgré le record de détention d'armes par les particuliers, les Etats-Unis n'ont pas le record pour le nombre de meurtres par armes à feu : ce record appartient au Honduras, suivie par le Salvador et la Jamaïque. La plupart des études font ressortir une forte fluctuation du taux selon l’intention de celui qui emploie l’arme à feu. À la demande du président Obama, la reprise des travaux du CDC sur l’épidémiologie de la violence par armes à feu, après une interruption de plusieurs années, constitue sans aucun doute un pas dans la bonne direction pour identifier les meilleures interventions pour réduire ce fléau, notamment celles qui passent par le contrôle des armes à feu.
Parking Château De Keriolet,
Exemple D'une Introduction,
Hotel For Students Amsterdam,
Cahier De Vacances 4-5 Ans,
Le Peintre Zeuxis,
Sauce Hollandaise Facile Sans Bain-marie,
Vente Judiciaire Morbihan,
Etat Second Mots Fléchés,
Vulgaire En 9 Lettres,
Peinture Gris Clair Satin,